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Témoignage de Paul Bouchet

Témoignage recueilli le 7 mars 2008 par Cécile Hochard et Jean-Philippe Legois, résumé analytique détaillé ci-dessous réalisé par Claire Béthencourt.

 

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Le lancement du son peut prendre quelques secondes, soyez patients.
Lecteur audio sous licence libre Creative Commons développé par Dew.

 

Les passages [entre crochets] sont des précisions/corrections validées par le témoin.

 

   Origines familiales
   
MVE011/001

Origine vigneronne forézienne du côté paternel (près de Montbrison) ; attachement à ce terroir forézien ; vigne familiale touchée par le phylloxera.

 

[2'21]
MVE011/002

Souche protestante drômoise du côté de sa mère. Le frère ainé de son père et son beau-frère sont victimes de la Première Guerre mondiale ; départ de son père au combat en 1915 ; participe à la Bataille de la Somme, où il perd un œil ; il bénéficie des emplois réservés aux blessés de guerre.

 

[2'21]

 

MVE011/003

Père nommé percepteur des contributions directes à Rozelieures (Vosges, actuellement Meurthe et Moselle), après avoir travaillé à la Manufacture de Saint-Etienne, ville où le témoin nait. Arrivée en plein hiver à Rozelieures. Accueil par le maire qui craint la réputation « rouge » des habitants de Saint-Etienne.

 

[3'51]
MVE011/004

Naissance d'un frère à Rozelieures quatre ans plus tard, puis retour de la famille dans le Forez.

 

[0'54]
MVE011/005

Grand-père maternel cuisinier dans la Marine Marchande sur le Britania; vit les grandes navigations en direction de l'Amérique du Sud, l'érection de villes nouvelles ; figure de l’aventurier de la mer.

 

[2'12]
 MVE011/006

Mutation de son père à Saint Georges en Couzan (Loire) où son troisième frère nait. La famille y reste plus de dix ans. Ecole primaire à classe unique. Evocation d’un camarade de classe résistant à qui il n’a pas pu faire avoir la Légion d’honneur.

 

[2'24]
 MVE011/007

Conditions de vie du logement de fonction : bureau du père au rez-de-chaussée, pas d’eau courante. Considérations sur les normes de décences actuelles. Inquiétude de son père pour l’avenir scolaire de ses enfants, et conditions de vie difficiles à l’arrivée de Laval en 1933. Eloignement du lycée le plus proche, situé à [Saint-Etienne].

 

[2'02]
  Scolarité
   
 MVE011/008

Entre à l’Institution Victor de Laprade à l’âge de 9 ans ; enfant précoce : a su lire et écrire à Rozelieures. L’Institution Victor de Laprade assurait aussi le rôle de petit séminaire où venaient les enfants de paysans destinés à la prêtrise et les enfants des bourgeois et aristocrate locaux. En classe avec Pierre Boulez. Confrontation intellectuelle entre ces deux milieux.

 

[4'41]
 MVE011/009

Conditions de vie spartiates, égales au milieu d’où il vient. A connu l’arrivée de l’eau chaude et du chauffage central à l’Institution.

 

[1'00]
 MVE011/010

Autorité acceptée ; est turbulent, ambiance joyeuse. Evocation de la figure du supérieur et de sa clairvoyance historique ; « égalitarisme absolu ».

 

[4'42]
 MVE011/011

Anecdote d’une convocation chez le supérieur. Pas de véritable esprit de brimade, punition spartiate : pain sec, eau. Education égalitaire. Enseignement fait par des séculiers.

 

[4'41]
 MVE011/012

Conditions de vie difficiles physiquement : le tiers de l’effectif partait au premier trimestre. Souvenir d'un immense dortoir.

 

[1'04]
 MVE011/013

Arrivée en 7ème, avec la petite bourgeoisie locale. Sentiment d’infériorité intellectuelle face à eux ; excellents résultats.

 


[3'41]
 MVE011/014

Contenu de l’éducation religieuse : éducation normale, apprentissage du Grec et du Latin, corps enseignant de grande qualité et respecté. Ordre séculier. Relation claire entre cette éducation et son entrée en Résistance.

 

[3'17]
  Engagement dans la Résistance    
 MVE011/015

En 1940, arrivée d’un supérieur d’une nouvelle génération d’homme d’Eglise, un démocrate chrétien, plus souple. Il fera partie de la Résistance spirituelle et hébergera des clandestins dans le collège. Naissance de Témoignage chrétien dans la Loire. Rôle de la soeur de De Gaulle, visiteuse de prison à Saint Etienne et militante de Témoignage chrétien.

 

[3'27]
 MVE011/016

Juin 1940, passe son bac à Saint Etienne ; lycée transformé en hôpital de campagne. Repart à pied avec Pierre Boulez et rencontre en route les flots de réfugiés. A l’annonce de l’Armistice, sentiment d’humiliation et volonté de révolte. Différence des réactions de la population du village face à l’Occupation.

 

[3'16]
 MVE011/017

Omniprésence de la guerre : une partie de l’Institut réservé aux soins des combattants marocains ; reconnaissance envers les soldats d’Afrique et admiration de son père pour leur foi.

 

[2'06]
 MVE011/018

Mobilisation de beaucoup de professeurs dès 1939 ; évocation d’un professeur d’histoire qui expliquait la spéculation en fonction de l’actualité de la guerre d’Espagne ; qualité de l’enseignement, humanisme général.

 

[4'02]
 MVE011/019

Passage du Bac à l’automne. Pierre Boulez va à Saint Etienne, lui va à Lyon aux Minimes. Très malheureux, tombe malade de pleurésie, victime de la faim ; passe Noël 1940 à l’infirmerie.

 

[4'15]
 MVE011/020

Venue triomphale de Pétain à Lyon, De Gaulle est alors encore peu connu. Rechute début 1941, retourne chez lui. Crainte pour sa vie. Soigné par le Docteur Eyraud, seul protestant du village, qui sera le responsable régional de l’organisation sanitaire des maquis. On appelle pour son âme le vicaire, autre responsable de la Résistance locale, combattant pour l’honneur à l’Armistice.

 

[3'19]

 MVE011/021

 

 

Opinion de son père envers Pétain qu'il considère comme défaitiste : il espère en lui, malgré une inquiétude face à sa vieillesse. Général De Gaulle peu connu ; radio de Londres très vite brouillée.

 

[1'35]
 MVE011/022

Pas de miliciens à sa connaissance dans sa région, à mi-chemin entre Lyon et Vichy. Pétain vient en promenade dans la région avec l’ambassadeur des USA, l’ambassadeur de l’URSS ou de Suisse.

 

[1'16]
 MVE011/023

Le comte de Neufbourg, personnage de la Résistance locale, chartiste, maire du village, refuse l’Armistice et refuse de recevoir Pétain dans son Château. Arrêté par la Gestapo, libéré grâce à sa secrétaire.

 

[3'57]
 MVE011/024

Longue convalescence du témoin ; passe son deuxième Bac par correspondance à la session d’automne. S’inscrit en Droit. Arrivée du premier Témoignage chrétien, journal clandestin, en décembre 1941. Eté 1941, théâtre entre jeunes du village, sans différenciation de bord.

[3'04]
 MVE011/025

Absence de tout acte de collaboration dans son village, mais engagement résistant moins partagé. Commence par des actions simples, d’abord avec Témoignage chrétien, laïques, radicaux ; pas de vrai organisation jusqu’en 1942. Actes de Résistance au retour des Allemands en 1942 ; évocation de l’arrivée des Allemands en juin 1940 et inaction des soldats français, qu’ils ont prévenus.

 

[3'24]
 MVE011/026

Distributions de tracts ; réception de parachutage par le comte de Neufbourg, après intervention d’Yvon Morandat. Refus du comte de s’en remettre aux Anglais. Résistance emprunte de méfiance.

 

[2'21]
 MVE011/027

Nombreux résignés ; implantation d’un réseau avant 1942 dans la plaine. Les Maquis arrivent en 1943-1944. Le réseau Témoignage chrétien prend contact par Lyon avec trois autres réseaux de journaux clandestins : Combat, Libération et Francs Tireurs, qui se regroupent par la suite. Grande méfiance entre les réseaux jusqu’à la fin, eu égard à l’action de la Gestapo ; anecdote de la rencontre avec un émissaire de la Résistance.

 

[4'15]
 MVE011/028

Première rencontre avec Jean Bergeret et Jacques Miguet, qui l’introduiront dans le mouvement étudiant. Père de Bergeret est cheminot et fait passer des messages ; structuration ; Bergeret est au départ Témoignage chrétien ; appartenance des jeunes vicaires au réseau Témoignage chrétien.

 

[3'04]
 MVE011/029

Risques de la clandestinité ; signe matériel de reconnaissance nécessaire mais dangereux : pour eux, une photographie découpé de Neufbourg ; évocation des tortures ; organisation avec Bergeret jusqu’à l’arrestation du chef local peu avant la Libération.

 

[2'48]
 MVE011/030

Mobilisation avant la Libération, devient Armée Secrète puis FFI (Forces françaises de l'intérieur) ; port du brassard FFI ; remplacement du chef du secteur tué dans une embuscade par un officier d’aviation ; évoque le jugement, à la fin de la guerre, des maquisards pour non respect des droits de la guerre.

 

[1'42]
 MVE011/031

Les maquis s’implantent en 1943 ; un prêtre de leur réseau fait la liaison avec eux. Le maquis est attaqué par des gendarmes français sous ordre d’un préfet de Vichy. Cinq maquisards sont tués

 

[0'53]
 MVE011/032

Le prêtre insiste pour offrir une cérémonie et un enterrement chrétien aux cinq maquisards, devant le sous-préfet de Vichy et malgré l’ordre de la fosse commune.

 

 [3'17]
 MVE011/033

Le médecin descend dans sa malle cinq couronnes payées par une collecte pendant la nuit suivante.

 

 [1'54]
 MVE011/034

Actions du groupe, modalité de l’armement et réalités ; moment fort, apogée de son action.

 

 [3'01]
 MVE011/035

Se bat au départ pour son pays, puis pour la liberté. Hantise de la torture.

 

 [2'57]
 MVE011/036

Regroupement des voies de diffusion des différents journaux clandestins ; hiérarchisation dans les réseaux.

 

 [2'02]
 MVE011/037

A la création du Conseil national de la Résistance (CNR), regroupement politique ; reproche fait à l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) de ne pas avoir été au CNR. Concurrence des giraudistes. Regroupement des Forces Françaises.

 

 [2'57]
 MVE011/038

Limites des moyens en armes des résistants. La cure servait de cachette d’armes, apportées par le médecin protestant chez le vicaire "Antoine" (pseudo).

 

 [3'00]
 MVE011/039

Casse la statue de Saint Antoine de l’église et se répartissent les morceaux avec le vicaire Antoine comme signe de reconnaissance.

 

 [1'24]
  Engagement étudiant :
L'AGE de Lyon

   
 MVE011/040

Arrivée à l’Assemblée générale des étudiants (AGE) en 1945 ; passage des examens en session spéciale pour les résistants. A l’automne, il reprend ses études à Lyon. Elu à la corporation de Droit, il retrouve Bergeret, lui-même élu en médecine. Forte présence des idées de la Résistance.

 

 [3'25]
 MVE011/041

Bergeret lui fait rencontrer Miguet pour prendre en main l’AG. Volonté de s’occuper du restaurant étudiant. Référence à Gilbert Dru, responsable de l'Amicale des Lettres sous l'occupation et martyr de la résistance.

 

 [3'02]
 MVE011/042

Institue le rituel du dépôt de la faluche à Lyon sur le lieu d'exécution de Gilbert Dru et de ses compagnons ; moment impressionnant. Formule de Miguet pour le préambule de la Charte « Fidèle à…conscient de » ; Paul Bouchet trouvera la formule « jeune travailleur intellectuel ».

 

 [3'00]
 MVE011/043

Elu de justesse, mis en minorité au bureau ; réelu à l'unanimité après discussion du programme qui réconcilie "gestionnaires" et "syndicalistes". Esprit de la Résistance.

 

 [3'02]
 MVE011/044

Planas, homme de la Résistance de la Drôme, chargé du logement ; efficacité de ses actions. Mise en route de la comission d'études syndicales qui proposera en avril 1946, au congrès de Grenoble, le projet de charte.

 

 [2'27]
  Engagement étudiant :
UNEF

   
 MVE011/045

Va à Paris, en décembre 1945, à la première réunion de l'UNEF en compagnie de Miguet. Après désaveu du président sortant sur la question internationale, se fait nommer pour le remplacer au Comité préparatoire pour une nouvelle Union internationale étudiante (UIE), à Prague. S’y rend avec Pierre Rostini et Laisney ; la Charte de Grenoble inspire les statuts. Prestige du passé résistant.

 

 [4'25]
 MVE011/046

l'UNEF confie à l’AGE de Lyon la tâche de proposer au prochain congrès de nouveaux statuts de rénovation. Paul Bouchet nomme Miguet président de la commission d’études syndicales. 

 

 [2'19]
 MVE011/047

Négociation rapide pour la commission préparatoire de l’UIE ; accord général.

 

 [1'39]
 MVE011/048

Dans la Charte de Grenoble, contexte de la mise en place de la Sécurité sociale. Volonté de faire reconnaitre la condition étudiante parmi les textes sociaux issus du programme du Conseil national de la résistance (CNR).

 

 [1'48]
 MVE011/049

Au congrès de Grenoble, accords sur la Charte sans longues discussions. Face à une conception "parlementaire" du mouvement étudiant, la Charte permet à l'UNEF de s'imposer comme seul mouvement représentatif, nationalement et internationalement.

 

 [2'08]
 MVE011/050

N'accepte pas de responsabilités au bureau de l'UNEF ni à Grenoble ni à Strasbourg. Donne la priorité de ses efforts à l'AG de Lyon, conçue comme un lieu d'expérimentation syndicale.

 

 [1'26]
 MVE011/051

Evoque des relations antérieures de l'UNEF avec les syndicats notamment la CGT. Entrée au barreau avec la volonté d'exercer son métier dans le domaine du droit social.

 [1'55]
 MVE011/052

Souhait de trouver un statut réel à l’étape étudiante ; changement d'esprit instauré par la Résistance ; multiples sollicitations politiques qu’il refuse.

 

 [2'30]
 MVE011/053

Assure la fonction de conseiller juridique de l'UNEF en travaillant sur le statut étudiant, sur le projet de Sécurité sociale étudiante et l'allocation d'étude. Coopération étroite avec Charles Lebert sur la Sécurité sociale étudiante ; projet nécessaire ; référence au système de gestion mutualiste des fonctionnaires.

 

 [3'22]
  La MNEF
   
 MVE011/054

Sécurité sociale étudiante vue comme la suite logique à la Charte de Grenoble ; jumelle la carte de l’AG et la carte de la MNEF. Evocation de Mme Devaux.

 

 [2'10]
 MVE011/055

Tradition de l'UNEF dans le domaine de la santé. Difficultés culturelles des milieux familiaux notamment des professions libérales à l'égard de la sécurité sociale.

 

 [1'15]
 MVE011/056

Difficultés au congrès de Nice ; les idées de gestion étudiante et d’une allocation d’études sont posées dès le départ; oppositions des médecins au pré-salaire; conception générale de la Sécurité sociale amalgamée aux classes populaires, et donc non destinée aux classes moyennes dont font partie traditionnellement les étudiants.

 

 [2'05]
 MVE011/057

Débat en faculté de Droit. Efficacité de "l'amalgame" entre traditionnalistes et novateurs. Esprit de la résistance.

 

 [3'30]
 MVE011/058

Nécessité d’un régime général mais avec une mutuelle spécifique, c'est-à-dire une gestion spécifique.

 

 [1'11]
 MVE011/059

Raison de la résistance parmi les étudiants en Médecine et Droit : mutuelle non nécessaire de par les formes mêmes de leur futur statut et revenu.

 

 [3'15]
 MVE011/060

Question du terme «  pré-salaire » : non accepté par les médecins et avocats, futures professions libérales. Terme « travailleur » accepté grâce à l’ambiance de reconstruction de l’après-guerre . Discussions avant l’échec du projet Cayol. Réunions les week ends avec Lebert pour travailler sur les textes.

 

 [4'50]
 MVE011/061

Evocation du congrès de l'UNEF à Arcachon en 1948. Craint la mise en place d’une mentalité purement gestionnaire. Travail exceptionnel de Jean Beurton, membre du CA de l'AG de Lyon. Reproche les dépenses internes de la MNEF. Problème de la MGEL (Mutuelle générale étudiante de Lorraine).

 

 [3'17]
  Engagement étudiant :
le débat MNEF/MGEL

   
 MVE011/062

Problème MGEL : risque d’éclatement. Fait renaitre les craintes du départ. Idée rassurante d’une mutuelle locale. Texte de Voirin, doyen de la faculté de droit de Nancy qui conteste la possibilité juridique d’un syndicalisme étudiant.

 

 [2'54]
 MVE011/063

L’organisation syndicale déroute l’administration. Certains doyens estimaient ne pas avoir à organiser des élections dans les facultés.

 

 [2'35]
 MVE011/064

Crainte du doyen Voirin de laisser la gestion aux étudiants. Responsabilisation de l’étudiant dans la Charte de Grenoble, eu égard au rôle joué par la jeune génération dans la Résistance.

 

 [1'40]
 MVE011/065

Préférence dans certains lieux pour une mutuelle locale ; crainte d'une tutelle parisienne. A Nancy : état d’esprit professoral, plus qu’un choix des étudiants en faveur d’une mutuelle locale.

 

 [1'43]
  Fin de la période étudiante et apport de cet engagement
   
 MVE011/066

Après la fin de son rôle de conseiller juridique à l'UNEF, siège au Centre national des Œuvres en tant qu''ancien de l'UNEF avec Delorme et Lebert, sous présidence de Gaston Berger.

 

 [3'07]
 MVE011/067

Réflexion sur la Charte de Grenoble. Application de la Sécurité sociale au monde étudiant. Risque de voir oublier la conception initiale, risque de technocratie.  L’évolution de la MNEF et du nombre d’inscrits a conduit à la dérive gestionnaire.

 

 [3'00]
 MVE011/068

Sens de l’engagement étudiant.

 

 [2'00]
 MVE011/069

Réflexion sur l’évolution de la MNEF.

 

 [1'15]
 MVE011/070

Critiques du témoin à propos des limites de réactivité et d’adaptabilité de l’UNEF, par rapport aux changements de son temps. Persistance de l’UNEF à travers les divisions nées de la décolonisation.

 

 [1'05]
 MVE011/071

Tournant 1948-1950 : fin d’une utopie née de la Libération. Evocation de la guerre d'Algérie.

 

 [3'15]
 
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