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Témoignage de Martine Michelland-Bidegain

Témoignage recueilli le 11 septembre 2008 par Jean-Philippe Legois et Camilo Argibay ainsi que le 19 mars 2010 par Jean-Philippe Legois et Marina Marchal. Résumé analytique détaillé ci-dessous réalisé par Caroline Chalier et Marina Marchal.

 

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Lecteur audio sous licence libre Creative Commons développé par Dew.

 

   Origines familiales
   
MVE019/001

Origines familiales ; naissance à Marseille dans un milieu de commerçants (grand-père grossiste en chapellerie), aînée d’une fratrie de trois enfants. En 1943, départ pour Jurançon, dans le Béarn où son père dirige une usine de bérets.

 

 

[1'57]
  Scolarité et influences
  
MVE019/002

Scolarité chez les sœurs à Jurançon, puis entre au lycée de filles Marguerite de Navarre de Pau en 6e à 10 ans. Évocation des « classes nouvelles », dont elle fait partie (chef d’équipe) : pédagogie innovante et ouverte avec des options comme la cuisine.

 

[2'44]
MVE019/003

École primaire chez les sœurs : une seule classe dans laquelle les élèves des différents niveaux sont mélangés. Raison pour laquelle elle entre en 6e à 10 ans.

 

[0'49]
MVE019/004

Examen d’entrée en 6e. Choix de ses parents pour une éducation religieuse par « convenance sociale » plus que par convictions religieuses. Mère au foyer, athée.

 

[2'03]
MVE019/005

Scoutisme (guides de France) et catéchisme ; évocation de l’abbé Barrère, communion. Son rapport à la religion catholique : n’a « jamais été très croyante ».

 

[2'27]
 MVE019/006

Évocation de sa professeure de latin grec, Madame Santoni, en 1e. En 1954, passe le concours général en grec et en latin, en même temps que Jean-Michel Beigbeder, et obtient un prix de version grecque. Remise du prix à la Sorbonne, à Paris par René Coty.

 

[2'11]
 MVE019/007

A l’insu de ses parents, fait une demande de bourse pour aller au lycée français de Londres, qu’elle obtient. Elle y restera deux ans : baccalauréat philosophie en1955, hypokhâgne et propédeutique en 1956.

 

[1'09]
 MVE019/008

Début de sa prise de conscience politique à Londres : début de la guerre d’Algérie (1955), le fils de Claude Bourdet est dans le même lycée, lecture de France Observateur. Souvenir des débats et affrontements avec Alain Gomez, qui venait d'Oran et défendait l’Algérie française. Compétition scolaire entre eux. S’inscrivent à Sciences Po Paris tous les deux.

 

[1'39]
 MVE019/009

A hésité à s’inscrire au lycée non mixte Fénélon, pour la khâgne, mais préfère choisir Sciences Po.

 

 

[1'27]
  Engagements étudiants  
 MVE019/010

Prend sa carte « naturellement » à l’Association générale des étudiants (AGE). En 1956, Pierre-Yves Cossé est président de l’UNEF. Gabriel Mignot, Dominique Wallon sont aussi à l’AG. Retour sur Alain Gomez.

 

[2'13]
 MVE019/011

En troisième année, atteinte de la tuberculose, elle interrompt son cursus pour aller se faire soigner à la Fondation santé des étudiants de France (FSEF) à Vence.

 

[1'36]
 MVE019/012

Devient présidente de l’AG du sanatorium. Quelques souvenirs : pétitions sur la Guerre d’Algérie, radio interne… Prolonge son séjour en post-cure.

 

[1'52]
 MVE019/013

Chroniques radio (services, actualités) ; souvenirs de Françoise Vinocq et d’une anglaise qui sont aussi à Vence.

 


[1'35]
 MVE019/014

Très de peu de débats au sein de l’AGE autour de la guerre d’Algérie. « Topo » aux étudiantes sur le fonctionnement et les positions de l’UNEF. « L’AG sana », l’Association générale des étudiants en maison de cure (AGEMC), regroupe les étudiants des différents établissements, environ 2 000 personnes. Chaque établissement a son bureau.

 

 

[2'34]
 Engagements à la MNEF
  
 MVE019/015

Entrée au CA de la MNEF par l’AGEMC. Souvenirs d’Alain Simonin, président de l’AG de Grenoble, et de Georges Videcoq, président de l’AG de Rouen.

 

[1'42]
 MVE019/016

Évocation de Jacques Antoine Gau, auteur d’une thèse de droit sur la Sécurité sociale étudiante, qui devient un ami proche (témoin lors de son mariage en 1966).

 

[2'04]
 MVE019/017

Vice-présidente mutualité de la MNEF en 1961 sous la présidence de G. Videcoq.

 

[0'49]
 MVE019/018

Activités très prenantes ; échoue à l’examen de Sciences Po. Se réinscrit en 4e année, devient présidente de la MNEF en 1962 et obtient son diplôme, la même année.

 

[3'20]
 MVE019/019

Seule femme de son bureau. Évocation de quelques membres de son bureau : Brunet-Jailly, Jean-Pierre Milbergue, Bruno Thomas-Lamotte, Jean-François Maréchal…

 

 [3'23]
 MVE019/020

Aucun administratif au sein du BN. Formation « sur le tas », puis développement de formations des élus en province.

 

 [2'53]

 MVE019/021

Rencontres régulières avec un « comité des sages » initié par Jacques-Antoine Gau, réunissant Paul Bacon (MRP), Marcelle Devaud (PRL), Louis Faucon (SFIO), les « pères fondateurs » de la loi de 1948 sur la Sécurité sociale étudiante.

 

 [2'33]
 MVE019/022

Conflits avec la section de Paris dirigée par Philippe Ramond. Organisation des élections (tous les 2 ans), souhait d’une forte participation ; listes concurrentes de la FNEF au sein de la MNEF. L’été 1962, se rend à Alger pour fermer la section de la MNEF.

 

 [2'57]
 MVE019/023

Débats UNEF « minos » / « majos » présents aussi dans les élections de la MNEF. Évocation de Jacques Bertherat, premier président « mino » de la MNEF élu en 1956, avec lequel la témoin a toujours des contacts.

 

 [1'18]
 MVE019/024

Affrontements lors des élections, positions de l’UNEF (santé mentale, logements…). Revendication commune avec l’UNEF : allocation d’études.

 

 [1'28]
 MVE019/025

Henri de Lapparent crée un baromètre du niveau de vie de l’étudiant : le « panier de l’étudiant » indicateur, publié dans Recherches universitaires.

 

 [1'19]
 MVE019/026

Les militants de l’UNEF considèrent ceux de la MNEF comme des « gestionnaires ». Indemnités de fonction plus élevées à la MNEF.

 

 [2'13]
 MVE019/027

Expérimentations avec l’UNEF sur le logement et les loisirs étudiants : participation à des programmes HLM, UNI-Club. La gestion de ces expériences, une fois mises en place, était confiée aux œuvres universitaires.

 

 [1'39]
 MVE019/028

Équipe « action sanitaire et sociale », proche de la gauche syndicale (Guattari, clinique de Laborde, psychiatrie institutionnelle). Expérience de la Clinique de Cour Cheverny. Agrément Sécurité sociale de l’acte BAPU obtenu sous sa présidence.

 

 [2'44]
 MVE019/029

Congrès de l’UNEF de Dijon de 1963 ; AGE de médecine de Paris avec Jean-Claude Pollack, Bernard Kouchner, dirigeants de l’Union des étudiants communistes (UEC). Souvenir de la revue Clarté.

 

 [2'54]
 MVE019/030

Foisonnement politique à l’UNEF qui se retrouve à la MNEF mais pas de manière conflictuelle, pas un lieu de débat politique. Liens forts avec l’UNEF qui a besoin de retrouver une ligne syndicale après la fin de la guerre d’Algérie. La MNEF est à la fois gestionnaire et « avant-gardiste » sur l’action sanitaire et sociale.

 

 [3'06]
 MVE019/031

Revue Recherches universitaires créée par Jean-Paul Milbergue et Guy Trastour. Le Centre d’études et de recherches syndicales (CERS) aurait été créé après Recherches Universitaires.

 

 [1'51]
 MVE019/032

Aspect « élitiste » de la revue.

 [1'18]
 MVE019/033

Très nombreuses activités à mener de front : formations, réunions, CA, élections, présidence du comité d’entreprise, séminaires… Reçoit une délégation des femmes des vice-présidents.

 

 [2'08]
 MVE019/034

Ne mène pas d’action particulière en faveur des femmes. [L’enquêteur évoque une interview dans Nouvelle Critique] : positionnement auto-gestionnaire, adhére au PSU dès sa création en 1960.

 

 [2'44]
 MVE019/035

Mode de fonctionnement collectif partagé par les membres de son bureau. Travail « gratifiant » et très formateur.

 

 [2'17]
 MVE019/036

Pâques 1963 : elle est renouvelée dans son mandat de présidente de la MNEF au congrès de l’UNEF de Dijon. En octobre, elle démissionne pour devenir vice-présidente de l’UNEF mais refuse d’être présidente au congrès de Toulouse en 1964.

 

 [2'14]
 MVE019/037

Antoine Griset, président de la FGEL, est son successeur à la MNEF pour un an, puis Henri de Lapparent devient à son tour président. Au total, elle passe deux ans et demi au BN de la MNEF.

 

 [2'09]
 MVE019/038

Pas de changement important dans son bureau à la suite du congrès de Dijon ; « grande continuité ».

 

 [1'04]
 MVE019/039

N’adhère pas au PSU par quelqu’un de la MNEF ou de l’UNEF.

 

 [1'04]
 MVE019/040

Travaille sur l’allocation d’études et son financement avec Michel Rocard lorsqu’elle est vice-présidente universitaire de l’UNEF.

 

 [1'45]
 MVE019/041

Étés 1962 et 1963 : week-ends dans les Alpes organisés par l’AGE de Grenoble (escalade), notamment avec Dominique Wallon.

 

 [0'54]
 MVE019/042

Voyages officiels en URSS en 1962 et à Cuba en 1963. Voyage en URSS avec Jean-Claude Merle (PC), André Larquié, Etienne Mougeotte pour rencontrer les « Komsomols ». Voyage à Cuba pour des rencontres sportives universitaires.

 

 [3'40]
 MVE019/043

Anecdote sur les cabarets cubains. Fidel Castro, Ernesto Che Guevara (...) saluent les différentes délégations étrangères.

 

 [2'01]
 MVE019/044

Perception de la MNEF par les autres mutuelles. Relations particulières avec la MGEN.

 

 [1'15]
 MVE019/045

Élue administrateur de la FNMF, à 22 ans, entouré d’hommes beaucoup plus âgés.
Lors des élections à la Sécurité sociale, soutien des listes mutualistes.

 

 [1'35]
 MVE019/046

Relations avec le ministère de la santé ; contacts avec Paul Bacon, Marcelle Devaud, Louis Faucon. La MNEF est alors une « institution reconnue ». Problème du coût du régime étudiant par rapport au régime général.

 

 [2'54]
 MVE019/047

Remises de gestion versées par la Sécurité sociale. Le ministère de la santé calcule leurs montants.

 

 [2'03]
 MVE019/048

Pas d’administration centrale : personnel administratif dans les sections  (chefs de centre). Syndicat autonome des personnels pour les chefs de centre, CGT, FO, CFDT. Pas de conflits avec les personnels à cette époque.

 

 [1'43]
 MVE019/049

Évocation de son trésorier, Dupré. Le système était « rôdé » et fonctionnait. Gestion séparée de la cotisation étudiante qui permettait de financer les « actions expérimentales ».

 

 [2'47]
 MVE019/050

Rapport moral du congrès de Dijon en 1963 dont elle est l’auteur. Le congrès de la MNEF se tenait avant celui de l’UNEF.

 

 [1'15]
 MVE019/051

Considère que son passage à la MNEF a été une « chance » pour son parcours ultérieur.

 

 

 [1'03]
 Contexte politique et syndical
  
 MVE019/052

Question autour d’une manifestation en novembre 1963. Souvenir du slogan « des amphis, pas de canon ». « Débat de la reconversion » après la guerre d’Algérie au sein de l’UNEF.

 

 [3'14]
 MVE019/053

Évocation de la gauche syndicale. « Décomposition » du PSU. Jacques-Antoine Gau et d’autres de ses amis étaient au PSU.

 

 [1'18]
 MVE019/054

Paysage politique : l’élite intellectuelle se retrouve au PSU. Considérations sur la SFIO (Guy Mollet, Lacoste).

 

 [1'30]
 MVE019/055

Évocation de Pierre Guidoni qui est à la SFIO.

 

 [2'45]
 MVE019/056

Alain Gomez, Jean-Pierre Chevènement, Didier Motchane et Georges Sarre fondent le Centre d’études, de recherches et d’éducation socialiste (CERES) en 1963-64 ; « entrisme » à la SFIO.

 

 [1'11]
 MVE019/057

Le CERES parvient à faire l’alliance SFIO / PC qui permettra à François Mitterrand de mener le programme commun et d’accéder au pouvoir. Évocation de « calculateurs froids » et des militants PSU, dont la témoin fait partie, qui « font de la politique avec des sentiments ». Jacques Antoine Gau et  Jacques Delpy quittent le PSU dès 1964.

 [2'57]
 MVE019/058

Question au sujet de l’occupation de la Sorbonne en février 1964 : circulation des plans de l’UNEF.

 

 [1'46]
 Parcours ultérieur
  
 MVE019/059

1963-1964 : inscription en médecine. Rencontre son mari, hésite à partir faire un MBA à la Harvard business school, et accepte finalement la proposition de Jean-Jacques Servan-Schreiber de travailler avec Gaston Deferre, sur l’opération « Monsieur X » en vue des élections présidentielles de 1965.

 

 [1'56]
 MVE019/060

Travail avec Olivier Chevrillon  et organise des groupes de travail : rencontre François Mitterrand, Françoise Giroux. Évocations de ses relations avec Jean-Jacques Servan-Schreiber et Gaston Deferre.

 

 [2'22]
 MVE019/061

Travaille ensuite pour l'Institut national de documentation et d'information du travail (INDIT).

 

 

 [1'53]
 Témoignage concernant la vie en sanatorium, recueilli le 19 mars 2010
  

MVE019/062

 

 

 

Dépistage de sa maladie à la médecine préventive universitaire. Un mois à l’hôpital universitaire. Découverte de la maladie l’année du diplôme de Sciences Po Paris.

 

[1'54]

 

 

 

MVE019/063

 

 

 

Mise en observation à l’hôpital universitaire, boulevard Jourdan, puis orientation vers Vence. Passe quelques examens. Pleine forme. Présence de nodules calcifiés sous la clavicule.

 

[1'26]

 

 

 

MVE019/064

 

Bon accueil et bonne ambiance au sein d’un milieu très féminin.

 

[0'40]

 

MVE019/065

 

 

 

Tous les matins la cure sur la terrasse avec une perfusion. La « trithérapie » : le « goutte à goutte », la Streptomycine et le Rimifon.

 

 

[0'38]

 

 

   Engagements au sein du sanatorium  

MVE019/066

 

 

Participe à la vie de l’établissement, devient vite présidente de l’AG du sana. Rate la prochaine rentrée universitaire.

 

[1'36]

 

 

MVE019/067

 

 

 

Découvre les problèmes de santé étudiante. Rencontre les gens de la MNEF et de l’UNEF lors des conseils d’administration de la MNEF. Prise de contact avec les bureaux nationaux.

 

 

[0'25]

 

 

 

  Vie quotidienne au sanatorium  

MVE019/068

 

Cure de silence après le repas. Ambiance assez conviviale. 

 

[0'39]

MVE019/069

 

 

 

Passe une licence de droit (Sciences Po ne se faisait pas par correspondance) et un certificat d’Anglais. Prend des cours par correspondance avec Paris. Peu de souvenirs de l’organisation des études.

 

[1'38]

 

 

 

MVE019/070

 

 

Evocation de spectacles, d’une radio intérieure : une chronique tous les matins avec musique et nouvelles sur les événements de la vie quotidienne.

 

[1'07]

 

 

MVE019/071

 

 

 

Souvenirs d’un jardin. La maison initiale sur la colline, un pavillon où l’on pouvait loger en fin de cure. Apprentissage de la dactylographie. Présence de beaucoup de musique, souvenirs de parties de cartes, de conférences.

 

[1'13]

 

 

 

 MVE019/072

 

 

 

Présence de deux générations au sanatorium, celles « d’avant les antibiotiques », plus âgées et « celles d’après ». Epoque des rechutes. Evoque le décès d’une jeune fille atteinte d’un cancer des poumons.

 

[3'14]

 

 

MVE019/073

 

Visite des médecins tous les matins et perfusions sur la terrasse.  Discussions avec le médecin-directeur, le Dr Palliès.

 


[1'03]

 

MVE019/074

Peu de souvenirs de la gestion des études.

[0'42]

 

MVE019/075

 

Souvenir d’un voyage à Saint-Hilaire dans le cadre de ses fonctions à l’AGEMC.

 

 

[0'23]

  Travail avec le médecin-directeur  

MVE019/076

 

 

Disparition progressive de la maladie. Discussions avec le Dr Palliès sur les nouvelles maladies. Vence se reconvertit dans le traitement des bronches.

 

[1'16]

 

 

MVE019/077

 

Travail à l’amélioration de la vie quotidienne avec le Dr Palliès. Préparation des Conseils d’administration.

[1'12]

 MVE019/078

 

 

 

Souvenirs d’une forme d’autodiscipline ou chaque patient participe à sa guérison. Association de l’AGEMC à cette forme de traitement. Souvenirs de lectures, de journaux, de musique.

 

[2'32]

 

 

 

 

 Comité administratif de mai 1960
  

MVE019/079

 

 

 

Lecture du rapport… Le Comité administratif était composé des étudiants, les élus de la MNEF ou de l’AGEMC qui descendaient de Paris.

 

 

[4'43]

 

 

  Postcure, engagement contre la guerre d’Algérie et à l’AGEMC  

MVE019/080

Postcure, engagement contre la guerre d’Algérie et à l’AGEMC.

[1'15]

MVE019/081

 

 

 

 

Octobre 1960, premières manifestations étudiantes sérieuses. Gaudez est président.  Participe à toutes les AG de l’UNEF. Souvenirs d’une certaine conscience politique des pensionnaires à Vence. L’AGEMC est à gauche, sur des positions un peu plus radicales.

 

[2'39]

 

 

 

 

MVE019/082

 

 

 

Pas de souvenirs de journées anticolonialistes. Il y avait des meetings à la mutualité avec Gaudez. L’alliance se fait avec les syndicats ouvriers en octobre 1960. Les étudiants prennent la tête du mouvement.

 

[0'49]

 

 

 

MVE019/083

 

 

 

L’AGES  devient l’AGEMC. N’a jamais été membre du conseil de la fondation sanatorium. Très peu de femmes parmi les pensionnaires dans les patientes. Plus intéressée par l’UNEF, la Guerre en Algérie. Evoque les Dr Palliès et Douady.

 

[3'45]

 

 

MVE019/084

 

 

 

Intérêt pour la santé des étudiants découlant de cette expérience. Souvenirs relatifs à l’AGEMC. Evoque  le peu de sérieux des études en sana et la mise entre parenthèse des études.

 

 

[2'05]

 Loisirs, vie intellectuelle et militantisme au sanatorium
  

MVE019/085

 

 

Existence d’un ciné-club, d’une bibliothèque. Evoque la signature d’une pétition en faveur de la paix en Algérie.

 

[1'57]

 

 

MVE019/086

 

 

 

 

Existence d’un bureau national de l’AGEMC et de sections locales. Devient vice-présidente universitaire de l’AGEMC lors de son retour à Paris. Souvenir de  l’affaire des sursis. Evoque l’arrivée des lycéens dans les établissements de la Fondation.

[3'05]

 

 

 

 

MVE019/087

 

Conclusion sur cette période.

 

[1'10]

 

 

 
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